Le cas du croyant est étonnant ! Tout ce qui le concerne est un bien, et cela n’appartient à personne d’autre qu’au croyant : Si un bonheur lui provient, alors il se montre reconnaissant et c’est un bien pour lui. Et si un malheur l’atteint, alors il se montre patient, et c’est un bien pour lui
"«عجَبًا لِأَمر المُؤمِن إِنَّ أمرَه كُلَّه له خير، وليس ذلك لِأَحَد إِلَّا لِلمُؤمِن: إِنْ أَصَابَته سَرَّاء شكر فكان خيرا له، وإِنْ أَصَابته ضّرَّاء صَبَر فَكَان خيرا له». [صحيح.] - [رواه مسلم.]"